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Scandale chez Facebook : Les révélations explosives de Carmack et Luckey sur sa politisation !

Carmack et Luckey exposent des vérités surprenantes, et éclairent les coulisses politiques de Facebook.

Carmack et Luckey exposent des vérités surprenantes, et éclairent les coulisses politiques du géant des réseaux sociaux.

John Carmack, ancien responsable technique chez , se sent désolé de ne pas avoir plus soutenu Palmer Luckey chez . Il admet qu'il est resté en dehors des manœuvres politiques internes. Selon lui, il aurait dû prendre une position claire contre ce qu'il considère comme une « chasse aux sorcières » une fois qu'il en avait pris conscience.

Il faut savoir que pendant la fin de l'élection présidentielle américaine de 2016, Palmer Luckey a fait des commentaires politiques qui ont fait beaucoup de bruit dans le Daily Beast. En même temps, Facebook avait des problèmes avec une la société ZeniMax. Luckey a dû aller devant un tribunal avec d'autres personnes importantes de Facebook. Quelques mois plus tard, il a été licencié. Facebook n'a pas révélé officiellement qu'il l'a licencié à cause de ses opinions politiques. Mais Zuckerberg a expliqué au Congrès en 2018 que ce n'était pas le cas.

Carmack a déclaré qu'il n'était pas impliqué dans le licenciement de Palmer Luckey. Selon lui, la pression des employés serait à l'origine du licenciement de ce dernier. En outre, il a affirmé que Zuckerberg n'avait pas une opinion très forte là-dessus. Mais Carmack pense que Facebook encourage les discussions politiques, ce qui peut causer des problèmes. Et d'après lui, si les fondateurs d'Oculus avaient soutenu Luckey, il aurait pu garder son emploi.

Politiques et pouvoir chez : Bosworth, Luckey et Carmack au cœur du conflit

De son côté, Bosworth, le CTO actuel de Meta, assure que la culture de l'entreprise a changé depuis le départ de Carmack. Il a mis l'accent sur l'importance de se concentrer sur le travail lors des discussions internes et a fortement conseillé à Carmack de ne pas spéculer. En 2016, Luckey s'est excusé pour les répercussions de ses commentaires politiques. Mais Bosworth dit qu'il ne connaissait pas ses opinions politiques à l'époque et l'a défendu publiquement.

Luckey a répondu en affirmant que Bosworth n'était pas crédible et l'a accusé de mentir ou de ne pas tenir compte de pourquoi il a été licencié. Selon ses propos, Bosworth mentait en disant que son départ n'avait rien à voir avec la politique. Il a évoqué des preuves internes qui prouvent le contraire. Luckey a même conseillé à Bosworth de ne pas se présenter comme quelqu'un qui n'a pas de parti pris politique.

Bosworth a affirmé qu'il n'était pas sans parti pris politique et qu'il avait ses propres opinions. Mais il pensait qu'il était important de séparer ses opinions politiques de ses décisions de travail. Luckey a dit qu'il voulait rendre publiques des informations. Mais Bosworth a signalé qu'il y avait des limites et pas assez de raisons pour le faire.

En somme, cette saga tumultueuse chez Facebook nous donne un aperçu des complexités des relations internes et des enjeux politiques au sein des grandes entreprises technologiques.

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