Dévoilé durant le salon du jouet de New York, le View-Master Viewer DLX est une nouvelle version remastérisée du dispositif commercialisé en 1930 permettant le visionner des images en stéréoscopie. Ce nouveau modèle de casque « bas de gamme » inspiré du Google Cardboard permet désormais d’afficher du contenu en réalité virtuelle et augmentée.
Mattel n’en est pas à son premier coup d’essai. Il y a 1 an de cela, la société américaine proposait au grand public un casque de réalité virtuelle construit sur le modèle du Google Cardboard. La compagnie a récemment dévoilé pendant le « New York Toy Fair » une version améliorée de son produit : le View-Master Viewer DLX. Intégrant un port jack, une molette d’ajustement pour la focale ainsi que de meilleures lentilles optiques, le nouveau modèle du casque de réalité virtuelle de Mattel s’ouvre désormais à la réalité augmentée avec l’aide des disques servant à afficher du contenu en 3D.
Conçu pour être utilisable par des enfants âgés de 7 ans ou plus, le View-Master Viewer DLX se voit équiper d’un nouveau socle lui permettant de fonctionner avec des smartphones de 4 pouces ou plus. Le casque est également compatible avec les applications Google Cardboard, lui ouvrant un contenu beaucoup plus large. Mattel en profite pour apporter de nouvelles expériences exclusives en réalité virtuelle, le View-Master Viewer DLX inclut un jeu de labyrinthe à explorer à deux ou encore une rencontre avec des dinosaures dans un jeu d’aventure et de survie.
Le casque de réalité virtuelle et augmentée de Mattel sera disponible cet automne au prix de 40 dollars accompagné des disques vendus séparément.
Une annonce surprenant, mais pertinente. Le View-Master Viewer DLX joue sur la popularité du Google Cardboard et s’offre, avec Samsung et Google, le marché grandissant de la réalité virtuelle et augmentée sur mobile. Si les casques haut de gamme ont encore un peu plus de mal à se faire une place dans notre société, la VR version mobile semble être le choix le plus pertinent pour participer à la démocratisation des contenus immersifs.
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