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EVA fait bouger Paris Games Week 2023, les demi-finales de la Coupe de France arrivent !

EVA Paris Games Week

Allez, on vous dévoile enfin les petites pépites qui ont su se frayer un chemin jusqu’à la fameuse finale de la prestigieuse EVA Coupe de France. Oh là là! Ce va être palpitant ! On parle ici de la crème de la crème du sport électronique en réalité virtuelle. Depuis septembre, c’est une vraie ruche d’équipes qui ont mis toute leur énergie dans la course à la qualification de ce tournoi mémorable. Et il y a eu des surprises, les favoris n’ont pas fait long feu face aux nouveaux venus déterminés. Petite touche historique en bonus : trois des quatre équipes qui s’échaufferont pour la finale sont mixtes. C’est au cœur de la Paris Games Week, Porte de Versailles, et en live sur Twitch, le samedi à midi, que se déroulera cette finale à couper le souffle.

Des gamers aux visages divers pour booster l’eSport

Voyez un peu ce portrait de la communauté des gamers que nous dresse le SELL: 47% de ces accros de l’écran sont des femmes. C’est plutôt impressionnant, hein ? Mais attends, ce n’est pas tout ! A l’approche de la Paris Games Week, ce chiffre monte en flèche : 75%! Oui, vous avez bien entendu, 75% de chance de voir une équipe menée par une femme se couronner championne de France 2023.

On ne peut pas ignorer les exploits des équipes qui ont créé la surprise lors des quarts de finale. Prenons l’exemple de Troyes, qui a écrasé le Champion de l’EVA League 1, Poitiers. La star de l’équipe Troyenne, Kelly, a été à la hauteur en réalisant un nombre record d’éliminations. A 24 ans, elle porte son équipe vers la victoire.

Dans les Yvelines, le quart de finale a été une vraie poudrière entre Maurepas et les Mureaux, mettant en lumière une autre joueuse de poids, Chanelle. À 24 ans, elle dirige la Team EDS Esport comme une véritable pro et fait ses preuves comme l’un des espoirs de l’esport EVA.

Quant à la surprenante équipe de Toulouse, elle est portée par Jeanne. Cette professionnelle de l’agro-alimentaire a réussi à unir ses passions – le jeu vidéo, le sport et la compétition – grâce à EVA ! Imaginez, elle n’a découvert le concept que 18 mois plus tôt, et la voilà déjà sur le chemin de la demi-finale à la Paris Games Week.

EVA Paris Games Week 2023

Quand gaming rime avec forme physique

Les Mystic de Beauchamp, quant à eux, ont leur chance de se succéder eux-mêmes sur le trône. Leur capitaine, Paascool, est une figure emblématique de l’EVA. Pour lui, EVA est la symbiose parfaite entre esport et sport, offrant un jeu compétitif avec des exigences physiques palpables. Après des années à côtoyer sa console, EVA a été la solution de Paascool pour allier sa passion du jeu vidép et une activité sportive régulière. Une pratique de trois ans, plusieurs compétitions remportées, et des centaines de km parcourus sur l’arène plus tard, notre homme se profile, à la Paris Games Week 2023, comme l’un des meilleurs joueurs EVA de France, mais surtout, avec une perte de 12 kg au compteur et une condition physique largement améliorée.

Une VR qui attise la curiosité

Durant la Paris Games Week, les visiteurs sont invités à découvrir l’arène EVA, une vision de la réalité virtuelle unique au monde, proposant un jeu FPS sans contrainte de mouvement sur une surface de 500m2. Et devine quoi ? L’arène vient de faire peau neuve avec plus de mobilité et de technologie VIVE.

Un peu de contexte sur EVA

Créée en 2018, EVA (Esports Virtual Arenas) est une pionnière française dans l’univers de l’esport en réalité virtuelle. Elle fonctionne sur un modèle de franchise et a rapidement pris de l’ampleur grâce à son concept et sa technologie inédite, offrant des arènes de 500m2 où les gamers se déplacent librement. Ses salles sont équipées de bars esports pour accueillir les fans. Son jeu star After-H a nécessité plus de 3 ans de développement. De plus, EVA continue son expansion internationale, avec déjà plus de 24 villes en France, 2 en Belgique, 1 aux États-Unis et 46 salles en phase d’installation. Elle prévoit d’atteindre les 100 salles en France d’ici 2025 dont 30 d’ici la fin 2023. Quel parcours, n’est-ce pas ?

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