REK est une nouvelle société visant à révolutionner le sport en réalité virtuelle. C’est un métavers sportif dans lequel on peut voir des joueurs s’affronter, mais aussi participer à différents matchs.
C’est le créateur de l’application de fitness VR YUR et du logiciel de réalité mixte LIV, Cix Liv, qui est derrière REK. Il travaille en collaboration avec l’ancien ingénieur Apple AR, Bart Trzynadlowski. Liv a dévoilé la nouvelle entreprise sur Twitter il y a quelques jours. Dans son tweet, il a déclaré que c’était son anniversaire, et qu’il était temps pour lui d’annoncer une nouvelle société. À noter qu’il s’agit de la troisième enseigne de Liv. Il la considère comme les « sports du métavers ».
1/ It’s my birthday, it’s time to announce a new company. Check out this teaser!https://t.co/nTvMQPGv8C, sports of the metaverse @rekverse
Joining me on this journey is @BartronPolygon an ex-Apple AR engineer.
Let’s discuss the why, and how we're gonna make this big. ⬇️ pic.twitter.com/cSuMYk0eKI
— CIX ᯅ/acc (@cixliv) March 30, 2022
REK : que doit-on attendre de la société ?
Dans le tweet publié par Liv, on peut le voir en train de se lancer des boules de feu virtuelles avec son partenaire, Bart Trzynadlowski. En même temps, l’un esquive physiquement les attaques de l’autre. Les deux se trouvent dans une sorte de terrain de racquetball, et portent chacun un Meta Quest 2, avec les contrôleurs du casque VR dans les mains.
Tout cela montre que la création de REK a pour principal objectif de connecter les différents joueurs, notamment les sportifs. Après tout, Liv et Trzynadlowski ont la certitude que le fait de les connecter pour s’amuser et faire divers exercices ensemble permettra de débloquer le véritable potentiel du métavers.
Selon les deux, les casques VR ne devraient pas être considérés tels des accessoires avancés pour jouer à des jeux vidéo. Ils devraient plutôt être vus comme des équipements sportifs, tout comme des patins de hockey, par exemple. Quoi qu’il en soit, d’après Liv, le métavers sportif est différent des autres plateformes de sport ou de fitness VR.
Effectivement, il laisse de côté les avatars, et se sert plutôt de vrais lieux et de vraies personnes pour les événements, comme on peut donc voir dans le tweet. En fait, Liv n’a pas manqué de dire sur Twitter que regarder des avatars courir n’est pas aussi captivant que de regarder un véritable athlète pratiquer son sport favori. Il a ajouté que les spectateurs VR ne s’intéressent pas aux avatars, surtout à cause de l’absence de bas du corps.
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