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Quel est le nombre de Pokémon en 2025 ? La liste par génération

Liste Pokémon

Le monde Pokémon n’a jamais cessé de croître. Des 151 créatures emblématiques de Kanto au millier d’espèces d’aujourd’hui, la question reste brûlante : quel est le nombre exact de Pokémon en 2025, et quelle est l’histoire derrière cette impressionnante collection ?

L’année 2025 marque une étape symbolique. Après le couronnement de la Génération 9 avec ses DLC, la communauté anticipe l’arrivée de la Génération 10. Ce cap soulève l’inévitable question du décompte officiel. Je vais justement établir avec vous le nombre exact de Pokémon répertoriés au Pokédex National, y compris les dernières additions de Paldea.

Le compte officiel, où en sommes-nous ?

Le total global à début 2025

Au tout début de l’année 2025, le Pokédex national recense 1 025 espèces de Pokémon uniques. Ce chiffre inclut l’ensemble des créatures apparues jusqu’à la neuvième génération, ainsi que celles introduites dans les DLC de Pokémon Écarlate et Pokémon Violet (Le Masque Turquoise et Le Disque Indigo).

Ce cap symbolique des mille Pokémon a été franchi en 2023, près de trente ans après la sortie des tout premiers jeux Pokémon Rouge et Bleu. En trois décennies, la franchise est passée d’un bestiaire de 151 créatures à un univers foisonnant qui dépasse le millier d’espèces. Une croissance impressionnante qui illustre la créativité continue de Game Freak et de The Pokémon Company.

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Quelle définition retenir ? Espèces uniques ou variantes ?

Lorsqu’on parle du « nombre de Pokémon », il est important de préciser ce que l’on compte réellement. Les 1 025 Pokémon correspondent uniquement aux espèces distinctes, c’est-à-dire celles qui possèdent leur propre numéro dans le Pokédex national.

Ce total n’inclut pas les nombreuses formes alternatives introduites au fil des générations :

  • les formes régionales, comme Raichu d’Alola ou Miaouss de Galar ;
  • les formes de genre ou de motif, telles que celles de Motisma ou Flabébé ;
  • et les formes spéciales temporaires, comme les Méga-évolutions, les Gigamax ou encore les Formes Paradoxe.

Si l’on comptabilisait toutes ces variations, le total dépasserait largement 1 200 formes distinctes. C’est pourquoi certains sites de référence proposent plusieurs chiffres selon les critères retenus.

Pourquoi ce chiffre continue d’augmenter ?

Chaque nouvelle génération apporte en moyenne entre 70 et 150 nouveaux Pokémon, et la tendance ne montre aucun signe de ralentissement. Cette évolution constante répond à plusieurs logiques.

D’abord, chaque nouveau jeu introduit des mécaniques inédites de gameplay qui nécessitent de nouvelles créatures : nouveaux types, capacités ou systèmes de combat. Ensuite, chaque région, inspirée d’un pays réel, comme Galar pour le Royaume-Uni ou Paldea pour l’Espagne, vient avec sa propre faune locale, ce qui enrichit naturellement le Pokédex.

Enfin, cette diversité toujours croissante permet à la franchise de renouveler l’intérêt des joueurs et de s’adapter à des publics variés. Le Pokédex, loin d’être un catalogue figé, est devenu un organisme vivant qui évolue à chaque génération. Et avec les nouveaux jeux en préparation, il ne fait aucun doute que ce nombre continuera de grimper dans les années à venir.

Génération par génération, le nombre de Pokémon en détail

Génération I (Kanto) – 151 Pokémon

La toute première génération, sortie en 1996 avec Pokémon Rouge et Bleu, a introduit 151 espèces devenues légendaires. De Pikachu à Mewtwo, ces Pokémon constituent le socle de tout l’univers. Leur design simple et leur diversité ont défini les bases : trois starters emblématiques, des oiseaux légendaires, un Pokémon mystique, et une structure de Pokédex devenue modèle pour toutes les générations suivantes.

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Génération II (Johto) – 100 Pokémon

En 1999, Pokémon Or et Argent enrichissent le monde avec 100 nouvelles espèces. C’est l’arrivée des types Ténèbres et Acier, ainsi que des bébés Pokémon comme Pichu et Magby. Johto renforce la cohérence du monde Pokémon et lie directement son Pokédex à celui de Kanto. Cela marque la première vraie continuité narrative de la série.

Génération III (Hoenn) – 135 Pokémon

Sortie sur Game Boy Advance, la troisième génération (Rubis, Saphir, Émeraude) ajoute 135 Pokémon et inaugure les capacités spéciales ainsi que les natures. C’est aussi l’apparition de Pokémon aquatiques iconiques comme Milobellus ou Wailord, et des légendaires puissants Groudon, Kyogre et Rayquaza. Cette génération a aussi mis l’accent sur l’exploration et la diversité climatique de Hoenn.

Génération IV (Sinnoh) – 107 Pokémon

Avec Diamant et Perle, Sinnoh introduit 107 nouvelles créatures et marque une grande modernisation technique. De nombreuses évolutions de Pokémon existants (comme Élecsprint → Élekable ou Magmar → Maganon) viennent renforcer la profondeur du Pokédex. Cette génération a aussi introduit les capacités physiques et spéciales séparées, ce qui révolutionne le combat stratégique.

Génération V (Unova) – 156 Pokémon

Pokémon Noir et Blanc signent la plus grande vague d’ajouts de toute la franchise : 156 Pokémon inédits. Game Freak a volontairement mis de côté les anciens Pokémon pour créer une expérience entièrement nouvelle. Unova marque un tournant avec une narration plus mature et un bestiaire entièrement repensé, de Victini à Genesect.

Génération VI (Kalos) – 72 Pokémon

Plus modeste, la sixième génération (X et Y) introduit 72 nouvelles espèces, mais une nouveauté majeure : le type Fée, destiné à équilibrer le jeu face aux types Dragon et Ténèbres. C’est aussi la première génération en 3D complète et celle des Méga-évolutions, une mécanique spectaculaire qui a transformé temporairement des Pokémon classiques en versions surpuissantes.

Génération VII (Alola) – 88 Pokémon

Avec Soleil et Lune, direction les îles tropicales d’Alola. Cette génération apporte 88 Pokémon (certains décomptent 86 selon les variantes régionales) et introduit les formes d’Alola, des versions locales revisitées d’espèces déjà connues. Le jeu abandonne les arènes traditionnelles pour des épreuves, et propose un ton plus narratif et cinématographique.

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Génération VIII (Galar / Hisui) – 96 Pokémon

Sortie sur Nintendo Switch, Pokémon Épée et Bouclier ajoute 96 nouvelles espèces, y compris celles issues des extensions Isolarmure et Couronneige. C’est la génération des formes de Galar et des Pokémon Gigamax, ainsi que l’introduction d’un monde semi-ouvert. Avec Légendes : Arceus, l’époque d’Hisui (ancien Sinnoh) a enrichi encore la mythologie de la série.

Génération IX (Paldea) – 120 Pokémon (et plus selon DLC)

La plus récente, issue de Pokémon Écarlate et Violet, ajoute 120 nouvelles espèces, sans compter les extensions Le Masque Turquoise et Le Disque Indigo. Ces jeux marquent une véritable révolution avec un monde ouvert complet, des Pokémon « paradoxe » inspirés du passé et du futur, et une grande liberté d’exploration. Paldea a officiellement permis à la série de dépasser la barre des 1 000 Pokémon.

Variantes, formes régionales et ce qu’il faut savoir

Les formes régionales, Alola, Galar, Hisui et au-delà

Au fil des générations, Game Freak a enrichi l’univers Pokémon avec un concept malin : les formes régionales. Ces variantes réinventent des Pokémon existants en leur donnant un type, un design ou un comportement différent selon la région. Ainsi, Raichu d’Alola devient un Pokémon Électrik/Psy qui surfe sur sa queue. En revanche, Miaouss a connu des versions d’Alola, de Galar, de Hisui et même une forme évoluée inédite : Berserkatt.

Ces formes sont à la fois des hommages à la diversité naturelle et une façon pour les développeurs de renouveler des espèces anciennes sans en créer de nouvelles. Elles ne comptent pas comme des « espèces distinctes” »dans le Pokédex national, mais elles sont pleinement reconnues dans les jeux de leur génération.

Méga-évolutions, Gigamax et autres formes spéciales, sont-elles comptées ?

À partir de la sixième génération, Pokémon a exploré de nouveaux systèmes temporaires d’évolution ou de transformation. Les Méga-évolutions, introduites dans Pokémon X et Y, permettent à certains Pokémon (comme Dracaufeu ou Lucario) d’atteindre une forme plus puissante pendant un combat.

Ces transformations ne sont pas considérées comme des Pokémon distincts : elles partagent le même numéro de Pokédex que leur forme de base. Les formes Gigamax, apparues dans Pokémon Épée et Bouclier, fonctionnent sur le même principe. Elles modifient la taille, le design et parfois les attaques d’un Pokémon, sans créer une nouvelle entrée dans le Pokédex.

Enfin, les Formes Paradoxe de Pokémon Écarlate et Violet brouillent encore un peu plus les frontières : elles représentent des versions « anciennes » ou « futuristes » de Pokémon connus, mais cette fois-ci, elles sont bien considérées comme des espèces à part entière.

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L’impact de ces formes sur le « nombre total »

Ces variantes, qu’elles soient régionales ou spéciales, expliquent pourquoi les chiffres diffèrent parfois d’une source à l’autre. Si l’on compte uniquement les espèces de base, on obtient bien les 1 025 Pokémon officiels. Mais si l’on additionne toutes les formes régionales, les Méga-évolutions, les Gigamax et les versions spéciales, le total réel de formes uniques jouables dépasse 1 200.

C’est cette flexibilité qui fait toute la richesse du Pokédex. Il ne s’agit pas seulement d’un catalogue d’espèces, mais d’un écosystème vivant où chaque génération apporte sa propre interprétation des Pokémon classiques.

Nombre de Pokémon en 2025, quid de la prochaine évolution du Pokédex ?

Les prochains jeux et leur impact sur le nombre total

À chaque nouvelle sortie, le Pokédex s’agrandit. Et 2025 ne fera pas exception ! Après Pokémon Écarlate et Violet, les rumeurs évoquent déjà de nouveaux titres qui pourraient introduire une dixième génération ou des remakes d’anciens jeux comme Noir et Blanc.

Chaque nouvelle aventure amène son lot d’espèces inédites, de formes régionales et de mécaniques originales. Si Game Freak maintient son rythme actuel, on peut s’attendre à 70 à 120 nouveaux Pokémon supplémentaires d’ici le début de l’année 2026. Cela ferait grimper le total bien au-delà des 1 100 espèces uniques.

Ce que cela change pour les dresseurs et collectionneurs

Pour les joueurs, cette croissance constante du Pokédex est un défi permanent. Compléter le Pokédex national devient de plus en plus long, mais aussi plus gratifiant.
Les collectionneurs doivent jongler entre les jeux, les versions et parfois les plateformes pour capturer tous les Pokémon disponibles. Heureusement, des outils modernes comme Pokémon HOME permettent désormais de centraliser sa collection sur une seule interface.

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