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Au cœur du metavers | Charles-Henri Marraud des Grottes ( VR & AI Specialist)

Dans le cadre de notre série « Immersion totale : l’avenir du métavers », nous avons eu l’opportunité d’échanger avec Charles-Henri Marraud des Grottes. Dans cet entretien, il partage son expertise sur les enjeux actuels du métavers, tout en nous offrant un aperçu des évolutions à venir dans un domaine où l’innovation ne cesse de redéfinir les frontières de la réalité virtuelle.

Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?

Je suis Charles-Henri Marraud des Grottes, fondateur de Mizik, une plateforme immersive qui réinvente le karaoké et les performances musicales grâce à la réalité virtuelle. Chez Mizik, je m’attache à repousser les limites de la technologie pour connecter les artistes et les fans dans des expériences uniques, à la croisée de la musique et du métavers. Mon parcours me permet de conjuguer créativité, innovation et vision stratégique pour transformer la façon dont nous vivons la musique aujourd’hui et demain.

Pouvez-vous décrire brièvement ce qu’est le Métavers  et comment il diffère des autres concepts similaires tels que la réalité virtuelle ou la réalité augmentée ?

Le métavers est une dimension virtuelle dans laquelle des interactions sociales se produisent entre utilisateurs sous forme d’ avatars. Les territoires virtuels doivent être standardisés afin d’ assurer la libre circulation des avatars dans l’ ensemble des mondes. Il faut voir les mondes comme des sites internets appartenant à des entreprises ou des particuliers et le métavers comme l’ infrastructure globale les reliant dans un un gigantesque espace virtuel ou augmenté. Il peut être utilisé avec tous types de terminaux, que ce soit un casque de VR ou des lunettes AR, mais aussi un smartphone ou un PC.

Quels sont les cas d’utilisation les plus courants du Métavers dans différents domaines tels que le divertissement, l’éducation, le commerce électronique, etc. ?

Le métavers tel qu’on l’imagine aujourd’hui reste une vision en construction. Il est en développement et continuera de l’être sur une longue période. Nous ne pouvons réellement parler de métavers avant 2030, lorsque des appareils virtuels légers, une adoption massive par le grand public et des infrastructures comme le cloud XR et des serveurs performants seront largement disponibles. Ce développement s’étendra sur des années, avec des évolutions constantes. Pour l’instant, on voit des usages prometteurs dans plusieurs domaines. Dans le divertissement, des concerts virtuels et expériences immersives comme le karaoké en VR permettent de connecter des millions de fans au-delà des frontières. Dans l’éducation, des environnements immersifs offrent déjà des possibilités de formation interactive et de simulations réalistes. Le commerce électronique explore des boutiques virtuelles où les clients peuvent interagir avec les produits comme dans un vrai magasin. Même dans le travail ou la santé, le métavers ouvre des pistes pour collaborer à distance ou recréer des contextes thérapeutiques et professionnels en toute sécurité. La clé sera d’interconnecter ces expériences, à la manière des sites web aujourd’hui, pour permettre à un avatar de voyager librement d’un univers à l’autre. C’est cette fluidité qui transformera ces initiatives isolées en un véritable métavers. Pour le moment, nous préférons parler de social VR: VR chat, Horizon, Roblox, en sont de bons exemples. Fortnite, The Sandbox, Mizik, Wave XR et bien d’ autres initiatives forment à terme le metavers.

Comment le Métavers peut-il remodeler les interactions sociales et la collaboration en ligne ?

Le métavers peut profondément transformer les interactions sociales et la collaboration en ligne en rendant les échanges plus immersifs, plus spontanés, et en abolissant les frontières physiques. Dans un espace où l’on peut se voir sous forme d’avatars, entendre des voix, et partager un environnement visuel riche, les interactions deviennent bien plus engageantes que sur les plateformes actuelles. Il ne s’agit plus seulement de parler ou de montrer, mais de vivre ensemble des expériences communes, qu’il s’agisse de travailler sur un projet, d’assister à un concert, ou même d’apprendre dans une salle de classe virtuelle. Ces environnements partagés offrent une sensation de présence, une dimension essentielle pour recréer des liens humains authentiques à distance. Les opportunités pour la communication sont vastes. Le métavers peut renforcer la collaboration professionnelle avec des réunions où les participants interagissent autour d’objets 3D ou de tableaux partagés, comme s’ils étaient dans la même pièce. Pour les communautés, il devient un lieu de rassemblement où les passions et intérêts communs se transforment en projets ou événements collectifs. L’interaction humaine, quant à elle, s’élargit dans des directions fascinantes. Les gens peuvent se rencontrer sans les limites habituelles du monde réel, en transcendant la langue, la culture ou la distance. On peut imaginer des collaborations entre artistes, scientifiques ou enseignants qui exploitent la richesse d’un environnement virtuel pour expérimenter, créer et innover ensemble. L’intelligence artificielle (IA) joue un rôle crucial dans l’enrichissement de ces interactions. Des personnages non joueurs (PNJ) intelligents peuvent fournir des informations contextuelles, guider les utilisateurs et faciliter les activités, rendant l’expérience plus fluide et interactive. Enfin, l’IA va permettre de regrouper les idées et opinions au sein de grands groupes d’individus, facilitant l’émergence d’une intelligence collective. Selon le Dr. Louis Rosenberg, pionnier en intelligence artificielle, cette approche, inspirée des essaims biologiques, peut amplifier l’intelligence collective des groupes humains en réseau. (source: https://arxiv.org/pdf/2401.15109) Nous assistons avec l’essor du metavers à la virtualisation du monde social et économique.

Quels sont les défis actuels auxquels est confronté le développement du Métavers, que ce soit sur le plan technologique, réglementaire ou éthique ?

Le développement du métavers repose en grande partie sur des technologies comme le pixel streaming, qui permettent d’accéder à des expériences immersives sans avoir besoin de matériel local puissant. Les calculs graphiques complexes sont effectués sur des serveurs distants, puis transmis en temps réel à l’utilisateur. Cela facilite l’accès, mais entraîne des défis majeurs, notamment en termes de consommation énergétique. La latence est un des premiers obstacles. Pour offrir une expérience fluide et immersive, les serveurs doivent être physiquement proches des utilisateurs afin de réduire le délai entre une action et sa réponse à l’écran. Cette exigence de faible latence nécessite une infrastructure réseau dense et performante, gourmande en ressources et coûteuse à maintenir. La consommation d’énergie de ces infrastructures est un autre défi central. Les serveurs dédiés au pixel streaming, au rendu graphique et au stockage des données nécessitent des quantités massives d’énergie, non seulement pour leur fonctionnement mais aussi pour leur refroidissement. Dans un monde où les crises climatiques s’intensifient, cette demande énergétique croissante pose une problématique majeure. Actuellement, une grande partie de cette énergie provient encore de sources non renouvelables, ce qui alourdit l’empreinte carbone de ces technologies. À moins d’optimiser les infrastructures, d’améliorer les algorithmes de compression et de généraliser les énergies renouvelables, le métavers pourrait devenir un gouffre énergétique. Cependant, il y a des pistes prometteuses. Les progrès dans l’efficacité des centres de données, le recours au refroidissement passif ou naturel, et l’intégration d’énergies renouvelables dans les infrastructures cloud sont autant de solutions à explorer. Si ces initiatives ne sont pas prises en compte dès maintenant, le métavers pourrait être en décalage avec les impératifs écologiques de notre époque. Pour que le métavers tienne ses promesses, il devra non seulement offrir une immersion optimale, mais aussi répondre à un impératif de durabilité énergétique. Cette vision doit être au cœur de son développement. Il ne soulève pas seulement des défis technologiques et énergétiques, mais aussi des enjeux politiques et sociaux qui pourraient redéfinir la manière dont nous interagissons, commerçons et même exerçons nos droits fondamentaux. Si des entreprises privées monopolisent les plateformes du métavers, elles pourraient imposer leurs propres règles, leurs morales d’entreprise, et même créer des écosystèmes économiques sous leur contrôle exclusif. Prenons l’exemple des stores actuels pour casques de réalité virtuelle : ils prélèvent 30 % sur chaque vente de contenu. Cela signifie qu’un studio de contenu doit reverser une part significative de ses revenus à l’hébergeur, tout en s’acquittant des taxes de son propre pays. Dans un métavers contrôlé par quelques grandes entreprises, cette dynamique pourrait se généraliser. Les studios de contenu, les maisons de disques, ou même les exploitants de salles de concert et de cinéma pourraient devenir des « salariés » indirects de ces géants, contraints d’exploiter leurs licences et leurs circuits de distribution dans des environnements virtuels qu’ils ne possèdent pas. Le résultat serait une perte massive de marges bénéficiaires pour les créateurs et une concentration encore plus importante de pouvoir économique. À cela s’ajoute la question des frontières dans un monde virtuel. Le métavers, par nature, transcende les limites géographiques, mais cela complique l’application des lois territoriales, notamment en matière de droits d’auteur. Si un utilisateur en Asie accède à une œuvre protégée par des droits européens via un serveur hébergé aux États-Unis, quelles règles s’appliquent ? Ce flou juridique pourrait affaiblir les gouvernances nationales au profit d’entreprises qui établissent leurs propres cadres réglementaires. Enfin, la question culturelle est tout aussi critique. Avec des outils de traduction en temps réel dans ces mondes virtuels, nous risquons de voir émerger des monocultures où la diversité linguistique et culturelle pourrait s’éroder. Cela représenterait un véritable risque démocratique, où les identités culturelles locales et les souverainetés nationales seraient mises à mal par des logiques commerciales globalisées. Ces enjeux ne sont pas anecdotiques. Ils nécessitent une réflexion collective, impliquant gouvernements, entreprises et citoyens, pour éviter que le métavers ne devienne un outil d’asservissement économique ou culturel. Il ne s’agit pas seulement de construire un espace numérique immersif, mais de le faire de manière éthique et inclusive, en garantissant une gouvernance équilibrée qui protège à la fois les droits des utilisateurs et la diversité des voix et des idées.

Comment les entreprises peuvent-elles exploiter le metaverse pour offrir des expériences uniques et créer de la valeur pour leurs clients ? Quelles sont les stratégies à adopter pour tirer parti du potentiel commercial du metaverse ?

Le métavers offre aux entreprises une opportunité de réinventer leurs interactions avec les clients en créant des expériences immersives et engageantes. Mais pour l’instant, il est aussi un levier médiatique puissant. Des entreprises comme Carrefour ont investi dans des initiatives à court terme, comme l’achat d’une parcelle sur The Sandbox pour 300 000 euros, générant un effet médiatique international. Ces retombées auraient coûté bien plus cher à obtenir par des campagnes publicitaires classiques, montrant que le métavers peut être un outil marketing rentable même sans stratégie immersive complexe. D’autres entreprises, comme Nike, ont opté pour une approche à long terme. En créant Nikeland sur Roblox, Nike a attiré plus de 21 millions de visiteurs depuis son lancement, en intégrant des expériences interactives qui fidélisent les consommateurs dans un univers virtuel propre à la marque. Cette stratégie s’inscrit dans une vision durable, visant à positionner la marque au cœur du futur des interactions numériques et à explorer de nouveaux modèles économiques. Pour exploiter pleinement le potentiel commercial du métavers, les entreprises doivent comprendre que ces initiatives peuvent aller au-delà du marketing. Offrir des environnements immersifs où les consommateurs deviennent des participants actifs, comme dans un défilé de mode virtuel ou un concert interactif, crée un lien émotionnel profond avec la marque. En s’appuyant sur des plateformes accessibles, interopérables et engageantes, elles peuvent transformer ces univers en de véritables écosystèmes économiques. A mon sens , pour l’instant le métavers sert avant tout à rassembler autour d’une marque, en hybridant les événements physiques et numériques pour internationaliser l’audience. Il permet également de créer un effet teaser efficace pour mettre en avant un produit ou un concept. En connectant des publics divers dans des environnements immersifs, les marques renforcent leur visibilité tout en testant des approches innovantes pour engager leurs consommateurs.

On a parfois l’impression que le métavers n’a pas su convaincre le grand public. Y a t-il tout de même un avenir pour cette technologie ? Lequel ?

Le métavers n’a pas encore convaincu le grand public parce qu’il n’est tout simplement pas prêt. Sa popularité soudaine découle largement de la période de confinement, où le marketing de a capté l’attention d’un public moins occupé, mais sans tenir compte des défis techniques, sociaux et économiques. Le changement de nom de à Meta relevait davantage d’un rebranding pour détourner l’attention des scandales comme Cambridge Analytica et les controverses sur Instagram que d’un véritable saut technologique. Cela dit, le métavers a un avenir, mais sur le long terme, probablement dans 10 ans ou plus. Avec des infrastructures technologiques encore à construire, des casques plus accessibles, et une adoption culturelle progressive, il pourrait devenir un espace clé pour des expériences immersives, la collaboration internationale et l’hybridation des événements. Mais son succès nécessitera patience, innovation et une réflexion profonde sur les enjeux sociaux et éthiques.

Quels sont les projets et les initiatives majeurs en cours dans le domaine du métavers ? Pouvez-vous donner des exemples de plateformes ou de projets qui se démarquent dans ce domaine ?

Le domaine du métavers voit émerger des initiatives variées, allant des expérimentations à court terme aux projets stratégiques plus ambitieux. Aux États-Unis, Wave XR s’impose comme une référence avec ses concerts immersifs en réalité virtuelle, transformant des performances musicales en expériences interactives où les fans peuvent interagir avec des avatars d’artistes. Wave XR met l’accent sur la personnalisation et l’interactivité, des éléments qui captivent un public jeune, habitué à des contenus numériques engageants. Durant la pandémie, des artistes tels que John Legend, The week end, Justin Bieber ont fait leur premiers concerts virtuels avec leur avatar sur Tik tok notamment. Depuis, 2024, la version VR est en bêta fermée sur le de Méta (source: waver.com) En Europe, Mizik propose une vision unique, mêlant karaoké immersif et performances hybrides. Contrairement aux approches centrées uniquement sur des spectacles numériques, Mizik combine réalité virtuelle et événements physiques pour créer des expériences inclusives et accessibles. Nous permettons aux talents émergents de se produire devant une audience mondiale, tout en rendant hommage à des artistes établis via des avatars interactifs. Grâce à notre stratégie hybride et à l’exploitation de technologies comme l’IA et le streaming social, Mizik vise à démocratiser l’accès à la scène tout en rapprochant artistes et fans. « En tant que fondateur et CEO de Mizik, j’ai conçu notre approche karaoké comme une première étape stratégique pour construire une plateforme immersive, tout en nous laissant le temps de voir émerger les technologies et infrastructures nécessaires au métavers. Le karaoké est pour nous un formidable outil pour rassembler une communauté mondiale, tester des concepts innovants, et poser les bases de notre vision à long terme. Notre objectif est clair : mettre les utilisateurs au centre de la scène, leur offrir une expérience immersive où ils peuvent chanter, interagir avec un public virtuel, partager leurs performances sur les réseaux sociaux, et participer à des concours internationaux. Ces initiatives ne se limitent pas à promouvoir les artistes établis : elles permettent aussi de découvrir de nouveaux talents, tout en connectant des fans aux quatre coins du monde. Et nous ne nous arrêtons pas à la musique. Mizik s’étend également à d’autres formes artistiques comme la réinterprétation de classiques du stand-up, renforçant ainsi une communauté diversifiée et dynamique. Notre vision va au-delà du simple divertissement. Nous voulons construire un espace où les artistes, qu’ils soient établis ou émergents, peuvent rencontrer une audience internationale, sans les contraintes traditionnelles des tournées physiques. Grâce à la blockchain, les fans pourront soutenir directement les artistes qu’ils aiment, et même devenir des acteurs de leur succès en investissant dans leur carrière. Cela ne remplace pas le rôle des labels et des maisons de disques, bien au contraire : notre modèle vient compléter et enrichir leur mission, en leur permettant d’identifier des talents validés par leur communauté et de collaborer dans un cadre plus équitable. Enfin, Mizik s’inscrit dans une démarche responsable. Nous voulons réduire l’impact environnemental des tournées en proposant des performances hybrides et virtuelles, tout en minimisant la fatigue psychique des artistes liée à des calendriers surchargés. Nous croyons à un modèle où artistes, fans, et structures traditionnelles coexistent et se renforcent mutuellement pour construire un écosystème musical inclusif, durable, et véritablement transformateur. Mizik est notre tremplin vers un métavers où tout cela deviendra possible, et je suis fier de porter cette vision. » (Charles-Henri Marraud des Grottes, CEO MIZIK) Ces projets montrent que, bien que le métavers en soit encore à ses débuts, il devient un espace d’innovation où les marques et les plateformes explorent des façons inédites de connecter et d’engager leur audience. Avec le temps, des initiatives comme Mizik, qui associent innovation technologique et inclusivité, joueront un rôle clé dans la transformation des industries culturelles.

Quels conseils donneriez-vous aux entreprises ou aux individus qui souhaitent s’impliquer dans le métavers ou tirer parti de ses possibilités ?

Si vous souhaitez vous impliquer dans le métavers, mon premier conseil serait de **garder le cap sur votre vision, même si personne ne la comprend aujourd’hui**. Imaginez Jeff Bezos expliquant à ses débuts qu’il allait vendre des livres sur Internet à des gens du monde entier : peu y croyaient, mais il a gardé le cap, s’est entouré des bonnes personnes, et a observé le marché évoluer. Il en va de même pour le métavers. Observez. Nourrissez-vous de tout ce qui se passe dans les technologies immersives et les communautés qui les façonnent. Testez des expériences, visitez des mondes virtuels, participez à des salons internationaux si vous le pouvez, et surtout **discutez avec les utilisateurs**. Ce sont eux qui définissent ce que sera vraiment le métavers. Il ne s’agit pas de copier les codes du cinéma ou du jeu vidéo : la XR (Extended Reality), avec ses déclinaisons comme la VR, l’AR ou la MR, est un espace totalement nouveau, qui ne se définit que par les usages que ses communautés en feront. Acceptez qu’il s’agit d’un **changement générationnel**. Beaucoup ne comprendront pas la culture des générations qui ont grandi avec le gaming, les animés, et une vision mondialisée des interactions. Mais c’est dans ces communautés que les usages du métavers prendront forme. Votre rôle sera de les écouter et d’apprendre à naviguer dans ces nouveaux écosystèmes. Ne cherchez pas à tout contrôler. Laissez l’innovation venir des utilisateurs, car ce sont eux qui créeront les règles. Et surtout, ne perdez pas de temps à convaincre ceux qui n’y croient pas. Ils ne comprendront peut-être que lorsque le métavers sera une réalité, et c’est là que vous serez prêt, parce que vous aurez exploré, appris et osé. Le métavers, ce n’est pas un sprint : c’est un marathon. Alors, équipez-vous bien, restez curieux, et avancez, un pas après l’autre, sans vous égosiller.

Qu’est-ce qui attire aujourd’hui les passionnés du métavers et comment cette technologie devient-elle accessible aux amateurs ?

Les passionnés sont captivés par l’innovation constante du métavers, qui offre un terrain de jeu infini pour la créativité, les expériences immersives et les communautés. Avec des outils de plus en plus accessibles et des plateformes conviviales, même les amateurs peuvent créer, explorer et interagir dans cet univers en pleine expansion.

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