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Découvrez l’univers du jeu d’horreur The Dark Pictures: Switchback VR

Découvrez l’univers du jeu d’horreur The Dark Pictures: Switchback VR

Derrière les rails de The Dark Pictures: Switchback VR se cache une expérience VR aussi troublante qu’addictive. Disponible sur 2, ce jeu signé Supermassive Games n’attend plus que vous… si vous avez le courage d’y entrer. Nous vous emmenons découvrir l’univers de ce jeu d’horreur.

The Dark Pictures : Switchback VR fait partie de la série The Dark Pictures, que l’on connait bien pour ses histoires effrayantes et ses éléments d’horreur. Le jeu est signé Supermassive Games, qui a créé des pépites comme le survival horror Until Dawn : Rush of Blood, ou le jeu d’action aventure The Inpatient. Le titre est exclusivement disponible pour ceux qui ont une PlayStation 5 (il fait partie des premières sorties du PSVR 2) et il coûte 39.99 €. Le jeu a reçu des critiques variés. De nombreux joueurs ont aimé ses éléments de gameplay. D’autres n’ont pas apprécié l’intensité de l’horreur. Voici l’essentiel à connaitre sur ce jeu.

Un train vers l’enfer pour les plus courageux

Le jeu Switchback VR a vu le jour le 16 mars 2023, uniquement sur PSVR2. Sa sortie initiale, prévue pour février, a été décalée afin d’améliorer l’ensemble et offrir plus de frissons. Le jeu cible les possesseurs de PSVR 2, les amateurs de sensation forte en réalité virtuelle, les joueurs occasionnels et les fans d’horreur accessible. Alors, que raconte l’histoire du jeu ?

Ici, on grimpe dans un train, mais dans Switchback VR, il ne faut pas s’attendre à un trajet tranquille : ça dérape très vite, dans tous les sens du terme. Après un accident, c’est le plongeon direct dans un plein de cauchemars. Vous voilà embarqué dans une virée à travers les pires coins de la saga The Dark Pictures, du bateau fantôme de Man of Medan à l’hôtel flippant de The Devil in Me, en passant par les brumes de Little Hope et les ruines de House of Ashes.

Chaque arrêt est une véritable maison des horreurs, avec des monstres bien décidés à vous croquer et des pièges à ne pas tester deux fois. En prime, vos choix pèsent lourd : sauver vos compagnons ou les laisser en galère, c’est à vous de voir. Selon vos décisions et votre réactivité, vous pourrez peut-être vous tirer de ce cauchemar… ou y rester coincé à tout jamais.

Un jeu de tir sur rails entre montagnes russes et ambiance glaçante

The Dark Pictures: Switchback VR reprend le concept qui a fait le succès de Until Dawn: Rush of Blood. Le joueur est installé dans un wagon de montagnes russes lancé à toute allure à travers des décors cauchemardesques.

Mais ici, l’expérience est plus belle grâce à la puissance du casque PSVR 2. Chaque virage brutal, chaque montée vertigineuse et chaque descente sert à amplifier la tension. Ce n’est pas une simple balade : vous êtes en mission de survie, armé de pistolets, et vous devez tirer sur tout ce qui bouge — ou même sur ce qui semble encore figé.

Ce qui rend le jeu unique, c’est aussi sa forte connexion avec l’univers de la série The Dark Pictures Anthology. Chaque niveau de Switchback VR vous transporte dans une reconstitution terrifiante d’un des précédents épisodes, comme Man of Medan et son navire fantôme, Little Hope et ses visions de procès de sorcières, House of Ashes et ses monstres tapis dans des ruines mésopotamiennes, ou encore The Devil in Me et son tueur en série dans un hôtel piégé.

Ces références ne sont pas là juste pour faire joli : elles sont soigneusement intégrées à l’expérience, avec des environnements reconnaissables et des ennemis emblématiques.

Les décors traversés sont d’une grande diversité, mais tous partagent une ambiance sinistre. Un manoir lugubre dont les couloirs semblent s’étirer à l’infini, un temple ancien aux murs recouverts de symboles inquiétants, ou encore les cales métalliques d’un navire à la dérive… chaque lieu est pensé pour jouer avec vos nerfs.

L’éclairage minimaliste, les ombres mouvantes et les apparitions soudaines emmènent le joueur dans une atmosphère où la menace semble toujours prête à surgir.

L’apport du PlayStation VR2 dans l’expérience Switchback VR

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Cette expérience Switchback VR mise sur les atouts du PSVR 2, en intégrant notamment l’eye tracking, le retour haptique et les gâchettes dynamiques. Le suivi oculaire est au cœur de la mécanique « Don’t Blink », conçue pour amplifier la peur à chaque instant. Ainsi, dans certaines scènes, mieux vaut garder les yeux ouverts !

Un petit battement de paupières, et voilà que des statues prennent vie. C’est imprévisible, stressant… et plutôt malin. Cette idée rappelle les créatures de certaines séries, figées tant qu’on les fixe. Dans le jeu, on se retrouve alors à surveiller ses propres clignements comme si notre vie en dépendait.

​En outre, les gâchettes adaptatives des manettes PS VR2 Sense permettent de simuler la résistance des armes à feu. Lors des tirs, la sensation est bien réelle. Chaque type d’arme présente une tension spécifique dans la gâchette. On ressent la différence entre, par exemple, un pistolet léger et un fusil plus lourd.

Par ailleurs, les vibrations haptiques du PS VR2 ne se contentent pas de vous faire vivre l’action — elles vous la font ressentir. Imaginez traverser un pont fragile qui se brise sous vos pieds, chaque vibration du casque vous faisant sentir le danger imminent. Ou encore, lorsque vous vous retrouvez dans un tunnel tremblant sous terre, les vibrations vous rappellent que chaque pas pourrait être le dernier.

Côté confort et accessibilité, le jeu se joue assis, ce qui évite les nausées. Il est simple à prendre en main, même pour les débutants, grâce à des commandes claires et des armes accessibles.

Au sujet de la rejouabilité

The Dark Pictures: Switchback VR ne propose pas de mode multijoueur. Toutefois, sa rejouabilité est appréciable. Des éléments vous incitent à revisiter le jeu. D’une part, on compte le choix d’itinéraire et d’exploration.  Le joueur influence son itinéraire en tirant sur des éléments qui déclenchent des changements de voie.

Il est vrai que ces déviations n’affectent pas profondément le scénario. Mais elles permettent de découvrir des ennemis différents et des environnements variés. Cela encourage les joueurs à refaire les niveaux pour explorer toutes les options disponibles. D’autre part, en jouant, les joueurs peuvent débloquer des armes et des trophées, comme la collection de statues de gargouilles présentes dans chaque niveau.

Terminer la trame principale de The Dark Pictures: Switchback VR prend en général entre 4 et 6 heures, selon la manière dont vous jouez et le défi choisi. Ceux qui veulent tout débloquer et explorer tous les embranchements narratifs peuvent compter entre 10 et 14 heures de jeu.

Aucune mise à jour majeure n’a été ajoutée au jeu depuis sa sortie. Il continue d’offrir une aventure unique, axée sur l’horreur et les environnements de la saga Dark Pictures.

En quoi le jeu diffère-t-il des autres jeux d’horreur ?

The Dark Pictures: Switchback VR est un jeu de tir sur rails en VR, dans la même veine que Until Dawn: Rush of Blood et Resident Evil Village VR. Néanmoins, certaines caractéristiques le rendent différent.

Comparaison avec Until Dawn: Rush of Blood

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Comme nous l’avions dit plus haut, Until Dawn : Rush of Blood a été créé par Supermassive Games. C’est Interactive Entertainment qui l’a publié. Sorti le 13 octobre 2016, c’est un spin-off de Until Dawn, conçu spécifiquement pour la réalité virtuelle sur PlayStation VR. ​

Switchback VR reprend l’idée des montagnes russes effrayantes, déjà présente dans Rush of Blood. Dans Rush of Blood, vous faites un parcours à bord d’un wagon de montagnes russes dans un décor de fête foraine un flippant, où vous affrontez des créatures. Ce jeu faisait en sorte que la tension monte progressivement au fil du parcours.

Par contre, dans Switchback VR, cette idée de montagnes russes horrifiques est toujours là, mais le jeu se base beaucoup plus sur des jump scares, c’est-à-dire des moments où un monstre ou un événement surprenant apparaît soudainement pour te faire peur. C’est une méthode qui est plus brutale, avec moins de développement progressif de la tension.

En plus, la narration dans Switchback VR est jugée moins développée que dans Rush of Blood. Alors que Rush of Blood avait une histoire plus fluide et une montée en tension, Switchback VR se concentre surtout sur ces moments de peur instantanée, au détriment de l’histoire et de l’ambiance qui se construit lentement.

Comparaison avec Resident Evil Village VR

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Dans Resident Evil Village VR, le jeu est conçu pour vous donner plus de liberté. Vous pouvez déplacer à votre rythme dans l’environnement, interagir avec différents objets et explorer les lieux comme vous souhaitez.

En revanche, dans Switchback VR, le jeu est plus linéaire. Cela signifie que vous suivez un parcours déjà défini, sans possibilité de vous en écarter. L’accent est mis sur le tir, et vous êtes plus souvent concentré sur les ennemis que sur l’exploration. Parce que vous êtes guidé tout au long du jeu et que vous n’avez pas autant de liberté, certains joueurs peuvent ressentir que l’immersion est moins forte comparée à Resident Evil Village VR.

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