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Gorn 2 : L’essentiel sur ce célèbre simulateur de gladiateurs en VR

Gorn 2 : L’essentiel sur ce célèbre simulateur de gladiateurs en VR

Bien qu’il soit encore tout récent, le fameux Gorn 2 fait déjà partie des jeux les plus vendus sur la plateforme Quest. Dans cette aventure pleine d’action, vous participez à des combats dignes des gladiateurs. Un titre à sérieusement envisager si votre collection VR manque d’un bon défouloir. Voici l’essentiel à savoir sur ce titre.

Vous ne connaissez peut-être pas encore Gorn 2, mais le premier opus, avec ses combats aussi fous que sanglants, a sans doute croisé votre radar. Eh bien, sachez qu’il s’agit de la suite directe de ce jeu que vous connaissez bien, et il vient tout juste de sortir. Son succès a été immédiat, conquis par les joueurs en un rien de temps. Preuve de sa popularité, il se classe déjà à la 4ème place des jeux les plus vendus sur Quest. Beaucoup l’adorent ! Voyons ensemble l’essentiel de ce titre qui fait sensation.

Gorn 2 prend le relais de la brutalité en VR

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Disponible principalement sur Quest, Gorn 2 est également accessible sur PC VR via et le Meta Quest Store. Le jeu a été lancé le 18 avril 2025.  C’est Free Lives, le studio sud-africain à l’origine du premier Gorn, qui a développé Gorn 2.

Lancé en 2017, Gorn premier du nom transportait déjà les joueurs dans une arène où la brutalité faisait loi, sur la tête. Ajoutez à cela les jets de sang, les clameurs des guerriers et les éclats de rire malveillants de l’empereur et des spectateurs. Vos ennemis sont aussi redoutables les uns que les autres. Leur seul objectif est de vous anéantir. Mais vous pouvez tout à fait les vaincre.

Pour y parvenir, vous avez à votre disposition une large gamme d’armes. Vous devez exploiter la physique pour réaliser des attaques spectaculaires (et cela est extrêmement sportif). Pour en connaitre davantage sur ce jeu, nous vous invitons à parcourir notre test du jeu.

Gorn 2 reprend le même concept que son prédécesseur mais dans une version revisitée. Alors, en quoi est-il différent ?

Retour dans l’au-delà pour de nouveaux combats sanglants

« L’au-delà t’accueille dans Gorn 2, là où les âmes des gladiateurs éliminés dans le premier jeu trouvent leur repos éternel. Et surprise : tu vas pouvoir leur infliger de nouveaux coups fatals ! Attends-toi à découvrir de nouvelles armes, des arènes jamais vu ailleurs, des pièges, ainsi que des ennemis et des boss redoutables qui testeront tes compétences » a déclaré l’éditeur à propos du jeu.

Cette fois, direction les hauteurs mystiques pour affronter des ennemis encore plus féroces. Et si vous trouviez le premier jeu musclé, ce nouvel épisode pousse encore plus loin le chaos. Mais attention, si l’expérience a été intense dans le premier opus, elle le sera davantage dans Gorn 2. Et pour cause, le studio a fait en sorte d’enrichir chaque aspect du jeu.

Tout a été étoffé : plus de choix côté arsenal, plus de types d’ennemis, et davantage d’environnements à dominer. Les pièges sont plus complexes et les affrontements sont plus difficiles. Le système de combat était déjà sauvage dans le premier opus. Mais ici, il devient encore plus spectaculaire et exagéré. Les bastons sont si dingues que vous vous surprendrez à essuyer votre casque… au cas où il aurait vraiment pris une éclaboussure.

Quelques caractéristiques essentiels du jeu

Gorn 2, c’est le chaos à l’état pur : de la baston décomplexée, de l’humour sanglant, et une démesure assumée du début à la fin. Voici quelques caractéristiques clés du titre.

Affronter les champions des Royaumes Célestes

Dans Gorn 2, le joueur atterit dans des royaumes célestes hauts en couleur. Les mondes du jeu regorgent d’anciens héros tombés au combat. Il faut alors éliminer les champions des cinq fils d’un dieu tout-puissant, chacun avec son propre style, ses attaques et sa difficulté bien corsée.

Ces boss sont un vrai challenge, même pour ceux qui ont retourné la première arène les yeux fermés. Une petite remarque : pour les âmes sensibles, un mode « Faible violence » remplace le sang par des confettis colorés et festifs.

Le carnage n’a pas de fin avec le mode « Endless »

Une fois que vous avez triomphé des cinq arènes principales, le jeu ne s’arrête pas là.  Cela évite la redondance parfois présente dans le premier opus.  Le mode « Endless » vous propose une vague continue de combats sans fin. Il y aura toujours des ennemis toujours plus nombreux et impitoyables, sans répit.

Et si vous avez envie de personnaliser votre expérience, le mode « Custom » vous permet de créer vos propres arènes et de choisir les règles du carnage. Là, c’est à vous de décider comment écraser vos ennemis. Vous pouvez, par exemple, recourir à des pièges monstrueux ou multiplier les adversaires de façon totalement démente.

Une gamme d’armes variée pour tous les styles de jeu

Dans le jeu, on retrouve une large gamme d’options qui s’adaptent bien à différents styles de jeu Même si l’arc ne fera pas l’unanimité, c’est au corps-à-corps que Gorn 2 révèle tout son potentiel sauvage.. Entre les couperets, masses, haches, épées et même des katanas, la variété est impressionnante. Chaque arme réagit bien. Et ce qui ajoute encore à l’humour du jeu, c’est la nature un peu déjantée de certaines armes. Par exemple, l’énorme morceau de viande qui permet de repousser les ennemis, une idée aussi bizarre qu’amusante.

Un système de progression amélioré

Dans Gorn 2, l’arsenal du joueur se diversifie et devient de plus en plus mortel à chaque vague. Les armes se débloquent au fur et à mesure que les ennemis sont tués, mais chaque nouvelle acquisition est souvent liée à un défi. Ces objectifs secondaires, comme réaliser des tirs à la tête avec un arc ou arracher des têtes à mains nues, ajoutent une touche brutale et parfois comique aux combats.

Absurdement fun : la narration de Gorn 2

L’une des améliorations majeures de Gorn 2 réside dans sa narration. Il ne faut pas s’attendre à un récit profond ou à des drames entre personnages : ce n’est toujours pas le cœur du jeu. Mais la trame, bien que légère, est étonnamment efficace.

L’histoire vous pousse à vaincre des champions gladiateurs étranges pour récupérer leurs morceaux de corps et ressusciter votre dieu. Oui, c’est aussi absurde que ça en a l’air. En revanche, les environnements et les personnages sont pleins de personnalité, à la fois grotesques et hilarants. La campagne de quatre heures permet de dérouler l’histoire avec des dialogues qui ne manquent pas de faire sourire.

Gorn 2 retrouve le charme chaotique de l’original, mais il améliore presque tous les aspects.

Une action plus réaliste

Le premier Gorn avait des déplacements assez rigides et brusques. Les mouvements n’étaient pas très naturels. Gorn 2, lui, utilise des méthodes de déplacement plus avancées, adaptées aux casques VR récents.

Il existe plusieurs façons de se déplacer dans Gorn 2. Vous pouvez utiliser le joystick de la manette pour vous déplacer dans le jeu, comme vous le feriez dans un jeu vidéo classique. Si vous préférez, vous pouvez vous téléporter instantanément à un endroit précis de la carte. Vous pouvez également tourner lentement et en douceur pour vous orienter dans toutes les directions sans les effets saccadés du premier jeu.

Grâce à ces nouveaux mouvements, l’action dans GORN 2 est plus réaliste. Vous pouvez esquiver les attaques des ennemis, balancer vos armes et frapper avec un mouvement instinctif.  Vous vous sentez plus à l’aise et moins fatigué, car tout se fait plus naturellement, sans avoir à lutter contre des commandes difficiles.

et Gorn 2 : un duo presque parfait selon les joueurs

Certains joueurs ont rapporté que Gorn 2 fonctionne plutôt bien sur le Quest 3. Le style visuel en cel-shading, très coloré, aide beaucoup : il est léger, donc parfait pour un casque autonome comme celui-là. C’est fluide la plupart du temps, même dans les bastons bien chargées.

Cela dit, quand les combats deviennent vraiment bourrins – genre beaucoup d’ennemis et d’effets en même temps – on peut sentir quelques ralentissements. Rien de catastrophique, mais cela se remarque un peu. Ces petits lags n’existent pas sur la version Steam, qui est plus stable grâce à la puissance du PC. Ce n’est pas parfait sur Quest 3, mais largement jouable, et les ralentissements restent rares.

Un autre point à souligner : la campagne dure seulement 3 à 4 heures. Elle est intense et fun, mais certains joueurs trouvent qu’elle se termine trop rapidement. Si vous n’êtes pas motivé par la création d’arènes ou les défis sans fin, la rejouabilité pourrait ne pas être suffisante sur le long terme.

Au final, Gorn 2 ne déçoit pas avec ses combats sauvages et sa direction artistique colorée. Bien qu’un peu court en termes de campagne, le jeu se rattrape avec ses modes personnalisables et sa rejouabilité. Si vous aimez l’action brutale et les expériences VR fun, il vaut clairement le détour.

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