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Deadpool VR m’a fait hurler… de rire et de douleur en même temps

Deadpool VR m’a fait hurler… de rire et de douleur en même temps

Twisted Pixel, le studio propriété de , frappe fort avec Deadpool VR, un jeu exclusif aux casques Meta Quest 3 et 3S. Ce projet, à la fois brutal et absurde, transpose parfaitement l’esprit des comics et des films dans un format interactif déjanté.

Dès le départ, les joueurs incarnent Deadpool de manière frontale et déroutante : la démo commence littéralement par une tête posée sur une table. Il faut alors déplacer le corps décapité pour qu’il retrouve sa vue. Ce genre de mise en scène délirante est omniprésent tout au long de l’expérience.

Le jeu assume son ADN d’arcade, avec des armes qui réapparaissent après chaque lancer, une fluidité constante et une violence totalement libérée. Chaque élément du gameplay est conçu pour offrir une action rapide, directe et fluide, sans explication ni temps mort. Twisted Pixel ne propose pas simplement un jeu d’action, mais une expérience qui rejette les conventions.

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J’ai repris ma tête… et un sabre dans chaque main

Dès que j’ai repris le contrôle du corps, j’ai compris que tout allait aller très vite dans Deadpool VR. Les katanas sur les épaules, les flingues aux hanches, les insultes dans le casque : bienvenue chez Deadpool.

J’ai senti la différence dès mes premiers pas. Le stick me permettait de me déplacer, mais c’est avec mes gestes que tout s’enchaînait. J’ai attrapé une arme, l’ai lancée, elle est réapparue aussitôt. J’ai recommencé sans réfléchir et c’est devenu naturel. Le rythme est effréné, les enchaînements sont grisants. Je sautais, tranchais, tirais, sans que rien ne casse l’illusion. C’était fluide, instinctif, propre.

À aucun moment je n’ai ressenti de coupure ou d’inconfort. Même les méchants semblaient me supplier d’en finir plus vite, tant chaque coup portait fort. C’est un jeu où l’on fait corps avec l’action.

Deadpool m’a insulté… et je l’ai remercié

Ce n’est pas seulement un jeu de tir spectaculaire. C’est aussi une performance narrative unique. Deadpool me parlait sans arrêt, ce qui avait brisé le quatrième mur à chaque instant. Ses répliques, toujours borderline, ajoutaient une couche d’absurdité délicieuse à chaque action. Quand j’ai choisi les options de confort, il s’est moqué de moi. Quand je ratais un tir, il en profitait pour lâcher une vanne.

Deadpool VR m'a fait hurler… de rire et de douleur en même temps

Je n’étais pas spectateur, j’étais complice. Cette relation dynamique avec le personnage ajoute une énergie folle à l’ensemble. C’est comme partager une partie avec un comédien improvisateur, qui rit de vos erreurs tout en vous encourageant à faire pire. Neil Patrick Harris prête sa voix au personnage avec un naturel bluffant. Dès la première référence à Doogie Howser, j’étais conquis. Ce Deadpool n’a rien à envier à la version cinéma.

Une promesse bien tenue pour l’avenir de la VR

Twisted Pixel ne s’est pas contenté de bien faire. Le studio a peaufiné chaque détail technique pour que l’expérience reste agréable. L’écran d’options de confort est l’un des plus complets que j’aie vus. Les couleurs vives, la stabilité du framerate et le soin graphique m’ont permis de rester actif sans aucune gêne. J’ai joué plus de 15 minutes sans interruption. C’est rare pour moi en VR.

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Meta semble avoir trouvé ici un terrain parfait pour son catalogue VR de super-héros. Iron Man, Batman… et maintenant Deadpool. Mais cette fois, il ne s’agit pas d’être un héros. Il s’agit de découper, tirer, rebondir et rire. Deadpool VR est chaotique, sanglant, cynique. Et pourtant, il tient parfaitement debout.

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