MEMOREUM est désormais disponible sur Meta Quest. Alors, bienvenue à bord du Century Dawn, vaisseau de cauchemar.
Dans ce jeu, vous incarnez le Dr Otto Hudson, coincé dans un vaisseau spatial infesté de monstres mutants. Votre mission ? Trouver un remède et ne pas finir en casse-croûte d’Ichor. Entre horreur pure, tension constante et narration psychologique, ce nouveau jeu VR transforme la survie en art du stress permanent.
MEMOREUM : voici l’histoire
Nous sommes en 2311. L’humanité a quitté une Terre détruite, en quête d’un nouveau foyer. Le Century Dawn, immense vaisseau colonial, transporte des milliers de dormeurs en stase. Jusqu’au moment où tout tourne au désastre. Une infection baptisée Ichor transforme les passagers en créatures grotesques.
A noter que l’infection n’est pas seulement physique, elle touche aussi l’esprit. Vous êtes le Dr Otto Hudson, seul survivant conscient et rongé par la culpabilité et les hallucinations, coincé au milieu de cette folie biologique.
MEMOREUM joue avec vos nerfs. Vous devez explorer les ruines du vaisseau, fouiller des salles noyées dans l’obscurité et survivre à des monstres qui apprennent de vos erreurs. L’ambiance rappelle les grands noms du genre : Dead Space, BioShock, Resident Evil.
Sauf qu’ici, tout se vit en réalité virtuelle. Vous ne regardez plus l’horreur, vous la vivez. Vous sentez la pression, la peur qui s’installe, et cette impression désagréable d’être observé par quelque chose qui respire juste derrière vous.
Une variété d’ennemi
Ce qui fait la force de MEMOREUM, c’est la variété de ses horreurs. Les développeurs, Wim Buytaert et Seamus Bryner, ont imaginé toute une ménagerie cauchemardesque. Les Chatters, infectés bavards, marmonnent encore des bribes d’humanité entre deux crises cannibales.
Les Chacals, issus des chiens du bord, arborent des crânes d’inspiration égyptienne et foncent à toute vitesse. Les Matrones, ventres fendus et cris déchirants, racontent une tragédie biologique. Et quand vous entendrez le sifflement d’une Mante religieuse, vous saurez qu’il est déjà trop tard.
Chaque ennemi demande une stratégie différente. Les balles sont rares, la panique constante. Viser la tête est un réflexe… sauf quand elle repousse. Les infectés s’adaptent, évoluent, se régénèrent.
L’arme principale, la Chimère, symbolise cette dualité : un outil de survie autant qu’un miroir de votre désespoir. Vous pouvez démembrer vos ennemis, viser leurs points faibles, ou les ralentir pour fuir. Rien n’est gratuit. Chaque décision influence votre chance de rester en vie.
Comme dit tout haut, les affrontements ne sont pas que physiques. Certains ennemis, comme les Sirènes, s’attaquent à votre esprit. Leur regard suffit à brouiller vos repères. Vous n’êtes plus sûr de ce que vous voyez. Et dans la VR, perdre pied mentalement, c’est pire que mourir.
Bref, MEMOREUM est disponible sur Meta Horizon à 29,99 dollars.
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