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Personne ne s’y attendait, ce nouveau jeu arrive sur Quest

Homme en casque VR blanc

Balancez-vous, volez et affrontez des colosses mécaniques dans Titan Isles. Ce nouveau titre signé Psytec Games fait partie des jeux à surveiller en septembre. Et aujourd’hui, il débarque enfin sur Meta Quest. 

Le studio Psytec Games, déjà responsable des populaires Windlands et Windlands 2, s’attaque cette fois à un univers encore plus intense. Celui des Titan Isles. Adrénaline, liberté et coopération en vue alors, ne le ratez surtout pas. Le jeu est disponible dès aujourd’hui au prix de 29,99 dollars sur la boutique Meta Horizon.

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Titan Isles : quatre styles de jeu, quatre personnalités explosives

Dans Titan Isles, chaque joueur peut choisir une exo-combinaison radicalement différente. Storm, Chasseur, Goliath et Blink ne se contentent pas de varier les armes. Chacun transforme aussi la manière dont vous vous déplacez dans le monde. Storm incarne la liberté aérienne, grâce à des jets de poignets permettant de contrôler votre direction avec précision. Ses pistolets à plasma, capables de se transformer en fusil Longstrike, ajoutent une touche spectaculaire.

Chasseur reprend les grappins iconiques de Windlands, mais les pousse beaucoup plus loin. Les joueurs peuvent s’accrocher à presque tout. Ajoutez un arc aux flèches laser Kyros, et l’on obtient une combinaison parfaite de précision et de mobilité. 

Goliath, quant à lui, joue la carte de la puissance brute. Ses jets d’énergie lui permettent des déplacements explosifs. Son bouclier massif bloque les lasers ennemis. Avec son canon Kyros à même de recouvrir ses adversaires d’une substance explosive, Goliath fait figure de tank redoutable. Ce qui est essentiel pour encaisser les coups quand la bataille devient trop dense.

Enfin, Blink apporte vitesse et agilité extrême. Capable d’exécuter des sauts gigantesques et un “Phase Dash” traversant les attaques ennemies, il assure un style nerveux et imprévisible. Ses projectiles Viper Bolts, à tête chercheuse, ajoutent une touche futuriste qui colle parfaitement à son gameplay fulgurant.

L’art de transformer la VR en spectacle collectif

Le monde de Toska ne se contente pas de vous mettre face à quelques robots. Les joueurs croisent des Titans colossaux, de véritables murs de métal animés qui nécessitent coordination et stratégie. Le jeu peut se parcourir en solo Toutefois c’est en coopération qu’il déploie toute sa richesse. Jusqu’à trois amis peuvent rejoindre la partie, chacun avec une exo-combinaison différente, et les styles se complètent naturellement.

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L’équilibre des forces a été un véritable défi pour Psytec Games. Le PDG Jon Hibbins explique avoir longuement travaillé l’harmonie entre quatre styles de jeu uniques. Personne n’est plus fort qu’un autre. Cependant, chacun possède des avantages contre certains ennemis. Résultat : les équipes ressemblent à des groupes de super-héros, chacun trouvant son rôle sans déséquilibre flagrant.

La VR permet évidemment d’amplifier ce sentiment. Les développeurs ont conçu les déplacements pour qu’ils soient spectaculaires sans devenir inconfortables. Que l’on vole, fonce ou escalade, tout est calibré pour donner assez de temps au joueur afin de viser, tirer et préparer sa prochaine action. Le rythme est pensé comme une danse entre ciel et terre, avec des pauses suffisantes pour réagir sans perdre l’intensité.

C’est justement cette combinaison entre liberté de mouvement et intensité des affrontements qui fait de Titan Isles un jeu singulier. La campagne propose une aventure narrative, mais sa rejouabilité repose sur la diversité des styles de déplacement et l’énergie coopérative. Chaque partie devient donc différente selon les combinaisons choisies par les joueurs.

Musique, son et ambiance au rendez-vous

Si l’action visuelle impressionne, Titan Isles se distingue aussi par son paysage sonore. Danai Kokogia, compositeur, a opté pour une bande originale hybride. Les contrastes entre orchestre et synthétiseurs reflètent parfaitement l’opposition entre nature colorée et machines brutales. Son travail s’inspire d’artistes comme M83 ou John Powell, mais garde une identité marquée.

Sam Jones, ingénieur du son, a imaginé ce qu’il appelle un “paysage bioélectrique”. Les machines semblent respirer, donnant l’impression d’un monde vivant malgré sa froideur mécanique. Chaque ennemi possède une signature sonore reconnaissable, permettant aux joueurs d’identifier les menaces même hors de leur champ de vision. En VR, cette approche prend une importance capitale, car le champ visuel est limité par le casque.

Les combats de boss bénéficient particulièrement de ce soin. Entre explosions, tirs ennemis et hurlements métalliques, chaque affrontement devient un spectacle auditif aussi intense que visuel. L’audio a été conçu pour compenser ce que le joueur ne voit pas, renforçant le sentiment d’être cerné par des forces colossales.

Le duo Kokogia et Jones a aussi pris plaisir à explorer différents styles. De l’orchestral pur aux morceaux électroniques, en passant par des touches disco ou des musiques de course, la bande-son surprend sans cesse. Cette variété accompagne la rejouabilité du titre, puisque chaque combat ou environnement trouve une couleur sonore spécifique.

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