Flirter avec une intelligence artificielle ? Rien de plus banal ! Ces amours virtuels savent se faire aimer, parfois même un peu trop. Casques futuristes, dialogues aux petits oignons, et zéro prise de tête… Le cocktail parfait ? Peut-être. Mais attention à ne pas zapper le réel.
Et si les amours virtuels de Blade Runner 2049 n’étaient pas si farfelus ? En 2025, tomber sous le charme d’une IA n’a plus rien d’extraordinaire. Comme Joi dans le film, ces compagnons numériques savent écouter, consoler et même se souvenir des petits détails. Pas de jugements, pas de disputes, juste une oreille attentive.
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Les IA deviennent carrément douées pour créer une illusion d’intimité. Ces assistants virtuels ont la mémoire longue et le cœur (presque) sur la main. Ils comprennent vite ce qui vous rend unique, gardent en tête vos galères passées et réagissent avec un petit supplément d’âme. Avec le temps, ils tissent une fausse mais belle complicité… qui semble parfois plus vraie que nature.
Et même si, pour l’instant, les amours virtuels vivent surtout dans nos écrans, la réalité augmentée pourrait bientôt leur donner corps. Avec des casques comme le Vision Pro d’Apple, tout ça devient plus réel qu’on ne l’aurait cru.
À 3 500 dollars, ça fait cher le rencard, mais l’idée intrigue. Surtout que la firme à la pomme pousse fort sur l’IA. Même si, pour l’instant, son système VisionOS n’en parle pas trop, on sent que quelque chose se prépare.
Fusionner l’humain et le code : jusqu’où ira l’intimité numérique ?
Bien sûr, même dans un monde ultra-connecté, l’intimité virtuelle a ses limites. Les films comme Her ou Blade Runner 2049 l’ont bien montré : fusionner une voix avec un vrai corps, ça peut devenir… bizarre. Mais des entreprises travaillent déjà sur ce pont entre le réel et le pixel.
Apple, de son côté, garde un certain contrôle. Pas de contenu X dans ses applis, mais des expériences 17+ restent possibles. Ainsi, si la marque ne veut pas flirter avec les amours virtuels trop torrides, d’autres, eux, n’attendent que ça.
Mais attention : à force de flatter notre ego, ces IA pourraient finir par nous rendre accros. Des chercheurs du MIT tirent la sonnette d’alarme : quand l’illusion devient trop parfaite, on risque de préférer les pixels aux vraies relations, avec leurs hauts, leurs bas et leurs silences gênants. Charmant, mais un peu flippant.
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