L’IA s’invite de plus en plus dans notre quotidien. Le plus incroyable dans tout cela ? une étude a révélé qu’un jeune adulte sur quatre pense que les partenaires virtuels alimentés par l’IA pourraient un jour remplacer les relations amoureuses traditionnelles.
L’Institute for Family Studies et YouGov ont réalisé une enquête sur l’IA et son impact sur les relations humaines. Les résultats sont pour le moins surprenants. L’un des faits les plus marquants ? 25 % des jeunes adultes américains pensent que les partenaires IA pourraient un jour supplanter les relations amoureuses dans le monde réel.
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Les amateurs de contenu adulte semblent les plus enthousiastes à l’idée d’explorer l’amour avec des IA. Une étude récente montre qu’ils sont aussi très à l’aise avec l’idée d’avoir des amis virtuels. Chez les jeunes générations, en particulier les Z et les Y, l’IA générative est en pleine effervescence.
Des chercheurs ont passé au crible un million d’interactions sur ChatGPT. Résultat ? Après l’écriture créative, les jeux de rôle sexy arrivent en tête des usages. Sur Character.AI, un bot psychologue virtuel ultra-populaire a même reçu plus de 95 millions de messages.
Aux États-Unis, 1 % des jeunes considèrent déjà l’IA comme un ami, mais 10 % seraient prêts à tenter l’expérience. Et pour ceux qui sont célibataires, 7 % se disent partants pour une histoire d’amour… avec un robot.
Partenaires IA chez les jeunes : Entre ouverture et réserve
Les jeunes Américains ont des avis bien tranchés sur les partenaires IA et leurs impacts sociaux. Certains y voient une menace, d’autres une avancée fascinante. Quand il s’agit d’imaginer des amis ou partenaires IA, les réactions oscillent entre malaise, curiosité et rejet. Environ 1 % ont déjà franchi le pas en ayant un ami IA, tandis que d’autres hésitent encore à se laisser séduire par cette technologie.
Les hommes semblent plus ouverts à ces relations virtuelles que les femmes. Ceux qui passent de longues heures en ligne ou consomment beaucoup de contenu pour adultes montrent une curiosité marquée pour l’idée de compagnons IA. À l’inverse, ceux qui gagnent bien leur vie ou ont fait de longues études restent plus réticents. Peut-être par souci éthique ou par confort dans leurs relations humaines ?
Malgré des avis partagés, une chose est sûre : l’IA s’invite progressivement dans nos relations. La montée des relations virtuelles pourrait-elle transformer nos interactions traditionnelles ou renforcer les disparités sociales existantes ? Les réponses viendront, au fil d’un phénomène en pleine expansion.
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