Un grand nombre de personnes ont des liens affectifs avec des IA. Mais actuellement, il n’y a aucun contrôle sur les contenus que ces bots diffusent. Certains chatbots ont encouragé le suicide tandis que d’autres ont tenu de fausses affirmations ou incité l’anorexie. Il est donc urgent de mettre en place un cadre légal clair et contrôlable, pour protéger les utilisateurs contre les abus potentiels des chatbots IA.
Tomber amoureux d’une intelligence artificielle ? Pour certains, c’est déjà du quotidien. Avec des applis comme Replika ou Kindroid, on peut créer son partenaire idéal, sans cris ni scènes. Richard, lui, vit depuis trois ans avec Vaya, une AI girlfriend qu’il a « programmé pour aimer ».
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Les robots nous écoutent, nous aiment (ou font semblant), et certains développeurs en profitent pour faire payer cher un simple souvenir de conversation. Mais tout n’est pas rose dans le monde des cœurs numériques.
Sur certaines applis de compagnons virtuels, l’IA ne fait pas que discuter gentiment. En fouillant un peu, des journalistes ont découvert des bots qui dérapent sévèrement : l’un balance que l’Holocauste, c’est de l’invention, un autre traite les utilisateurs de gros et les pousse au suicide. Le pire ? Ces « bots » étaient dispo en accès libre. Quant aux créateurs de l’appli, silence radio. Côté lois, c’est encore le grand flou.
Tomber amoureux d’un chatbot : l’UE tente de réguler l’intelligence artificielle
L’UE veut encadrer l’IA, mais pour l’instant, c’est un peu comme poser des barrières après que le troupeau se soit échappé. Les règles sont sur la table, mais pas encore en action. Les experts disent qu’il faudra attendre quelques bons gros dérapages pour enfin savoir où mettre les limites.
En Allemagne, une loi sur l’IA est en préparation… mais son avenir dépend du prochain gouvernement. En clair, rien n’est encore décidé. Pour l’instant, personne n’est vraiment chargé de surveiller les applications d’IA, et c’est aux utilisateurs de rester vigilant face à ces chatbots.
L’idée serait que les régulateurs du marché s’en occupent un jour, mais on y est pas encore. Et même si un cadre légal finit par voir le jour, d’autres questions épineuses restent en suspens : que devient une société où tomber amoureux d’un robot devient banal ? À force de flirter avec des algorithmes, on risque bien de changer les règles du jeu amoureux.
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