Cybrothel à Berlin, c’est le tout premier cyber-bordel d’Europe. Il a été lancé en 2020 par le cinéaste autrichien Philipp Fussenegger comme un projet artistique. Mais la demande a rapidement explosé. Beaucoup (des hommes autour de 34 ans pour la plupart), viennent pour explorer des fantasmes, seuls ou en couple.
Cybrothel, un cyber-bordel qui se trouve à Berlin, se sert de poupées sexuelles ultra-réalistes pour séduire sa clientèle. Ces robots sont une création en silicone et ressemblent à une personne réelle. Grâce à l’IA et la réalité virtuelle (VR), ils sont capables d’offrir une expérience personnalisée.
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Une vaste gamme de scénarios spécifiques est disponible pour les clients. Cela inclut des positions et des tenues, pour adapter l’expérience aux fantasmes les plus précis. On a également un large choix de poupées sexuelles, et du contenu pour adultes à disposition.
Par ailleurs, Cybrothel propose d’autres services. Il y a notamment la possibilité pour les clients d’envoyer des SMS à leurs poupées avant la visite, ou de discuter en ligne avec une poupée virtuelle, via un chat automatisé.
Notons que dans cet espace, les participants conservent leur anonymat et peuvent utiliser un pseudonyme. Mais il y a quelques inconvénients.
Le Cyber Border de Berlin : La dérive inquiétante des poupées sexuelles
Dans le cyber-bordel de Berlin, les poupées ont des corps hyper-sexualisés, presque identiques et parfaitement lisses. Elles répondent à des standards esthétiques très influencés par le porno et un regard masculin spécifique.
Ensuite, le fonctionnement du lieu repose sur des demandes des clients qui sont adaptées par une petite équipe de cinq personnes, mais avec des règles strictes : pas de fantasmes extrêmes, ni d’éléments illégaux comme des enfants ou des animaux.
Certains visiteurs, comme l’écrivaine Laura Bates, lors de sa visite sous couverture, elle décrit une expérience choquante : une poupée endommagée, avec des vêtements déchirés et une lèvre arrachée.
Laura Bates s’inquiète que les poupées sexuelles intelligentes mélangent trop le réel et le virtuel. Cela donne l’impression que ces robots peuvent « consentir ». Rendre ces poupées accessibles de manière anonyme pourrait encourager des comportements misogynes et banaliser la violence envers les femmes.
De plus, l’absence de régulation expose les mineurs à des dangers. Certains gouvernements veulent même imposer des lois pour protéger les utilisateurs. Mais malgré des progrès technologiques, il reste difficile de réguler ces outils, et leurs effets restent difficiles à prévoir.
Les critiques estiment qu’il est urgent de donner aux entreprises technologiques les mêmes responsabilités que celles des autres secteurs pour éviter la discrimination et les inégalités.
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